Saria / Jean Dufaux / Ricardo Federici et Paolo Serpieri 💗💗

A la mort de son père, le prince Asanti, Saria s'est vue confier trois clefs, l'une donne accès à la porte du Paradis, l'autre aux Enfers et la troisième au Néant. Fuyant le Doge, allié aux sinistres phalanges fasci, prêt à tout pour s'emparer des clefs du pouvoir, la jeune fille se forge une nouvelle vie, celle de La Luna, héroïne du peuple vénitien.

Dufaux au scénario et Serpieri au dessin. Le lecteur pouvait s’attendre à mieux.

L’auteur a mis 14 ans avant de sortir la suite de l’histoire, elle aurait mérité meilleur sort. L’univers mis en place est bizarre en complet décalage.

Trop de paramètre qui nous interroge sur les situations ou encore sur le lieu.

Et surtout on est sans cesse en train de chercher le pourquoi du comment de cette univers pas assez fouillé et étoffé. Trop de zones d’ombre.

Une histoire sans saveur. Le seul plus est l’illustration dont je n’ai pas grand-chose à reprocher.

Azzedine

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