Une histoire ultra violente
- Fred
- 24 juil. 2016
- 1 min de lecture

D'A. Glass, F. Dallochio et C. Henry. Ed. Urban Comics, 2016
1.Têtes Brûlées.
Emprisonnés à vie dans le pénitencier de Belle Reve, Deadshot, Harley Quinn, El Diablo & King Shark ont été recrutés pour constituer un escadron suicide. Lorsque les missions deviennent trop périlleuses, ces Super-Criminels sont envoyés sur le terrain. Ils sont sacrifiables, si cela s'avère nécessaire.
Afin d'éviter aux joyeux membres de cette équipe de barges de céder aux sirènes de l'évasion ou de désobéir aux ordres, une nano-bombe, déclenchable à distance, leur est injectée dans la nuque.
Pour sa première mission, la Suicide Squad est envoyée dans un stade, mis en quarantaine, car les milliers de spectateurs qui s'y trouvent sont infectés par un virus dont on ignore l'origine.
Le justicier Black Spider fait également partie de l'escouade.
Les héros de Suicide Squad sont des anti-héros ; ce n'est pas un scoop. Dans l'univers DC, Harley Quinn est -mais qui l'ignore ???- la compagne du Jocker. Elle a été mise sous les verrous par Black Canary ; Deadshot doit, lui, son arrestation à Batman. Tous sont incontrôlables, violents & complètement déjantés.
Comme il s'agit-là d'un Comics, l'on change peu ou prou de dessinateur/encreur/coloriste à chaque chapitre. Si cela aboutit parfois à un rendu visuel étrange, ce n'est pas le cas de ce premier tome : il y a ici une unité graphique réelle, ainsi qu'une certaine constante dans la mise en couleurs.
Une histoire ultra-violente, à l'image des protagonistes, sociopathes en puissance, qui s'avère être un très bon divertissement.
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